J+8: Espalion > Estaing,3ème nuit
Couchsurfing chez des jeunes, habitants RODEZ, Marine, jeune infirmière est
venue nous prendre à
Estaing.
En cours de route nous avons fait du tourisme et
visiter un site archéologique, très impressionnante.
Le compagnon de Marine, Guillaume, est ingénieur à l'APAVE,
il s'occupe tout le secteur de Rodez.
Ce soir, je ne ferai pas la cuisine, nos hôtes nous
ont concocté un repas typique du terroir " Saucisses et Aligot" genre de purée de pomme
de terre avec du fromage, la Tome d'Auvergne, excellent.
Ils ont eu la gentillesse de nous céder leur
chambre, eux ont dormi sur le canapé du salon, c'est un comble, c'est
nous qui avons demandé
un canapé
et c'est eux qui dorment dessus. C'est un couple extrêmement
sympathique et charmant à
tel point que nous les avons revus deux étapes plus
loin, accueillis par leur parents à
Decazeville ou ils nous ont hébergés à nouveau.
J+9: Estaing > Esperac, des pèlerins de
l'année dernière nous ont rejoints pour faire un bout de chemin avec nous, Bernard et
Maloune des Clermontois.
A partir de ce moment là, nous avons cessé provisoirement
le Couchesurfing, pour rester avec mes
amis.
J+10: Esperac > Conques,petite ville médiévale et très
touristique. Nous sommes hébergés a l'Abbaye Sainte-Foy, visité la ville et assiste à la messe
ou plutôt à la prière du soir car il n'y avait pas de prêtre mais des Frères de
l'ordre des Prémontrés. Entre temps, mon deuxième petit-fils Pierrot nous a rejoint pour nous accompagner jusqu'à St.Jacques.
Au réfectoire et à
la prière du soir à
l'église, nous avons chanté
à tue-tête, la chanson des Pèlerins car nous avions les paroles sur la Credentiale de la Réunion.
J+11: Conques >
Livinhac le Haut. Gite Communal
C'est à ce moment-là que nous nous sommes séparés mes petits-enfants et
moi, eux partant sur Decazeville d'où ils
sont hébergés en
Couchesurfing chez les parents de Marine, je suis resté avec Bernard et sa femme.
En partant de Conques,
nous avons subit un orage carabiné, des éclairs et des tonnerres zébrèrent le ciel, nous avons décidé avec mes amis pèlerins de prendre la
route et de quitter le sous bois. Bien nous en a pris car le terrain était impraticable et les risques de chute ou de glissade étaient fréquents.
Après une longue marche en côte, à un croisement nous apercevons Antoine et Pierrot qui eux ont pris le
sentier GR 65 plus difficile et plus rocailleux.
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